La lutte gréco-romaine fut le premier style à figurer au programme des Jeux Olympiques modernes d’Athènes en 1896. Elle reste un des piliers de l’olympisme et est certainement le style le plus connu.
Elle ne se pratique que sur le haut du corps, le règlement ne permettant que les actions au- dessus de la ceinture. Les lutteurs n’ayant pas à se protéger d’attaques sur les jambes, la garde est donc plutôt haute.

La lutte libre est la plus pratiquée dans le monde. Elle fait son entrée au programme olympique des jeux modernes en 1904 à Saint Louis. Comme son nom l’indique, elle se pratique sur tout le corps et permet, à l’inverse de la lutte gréco-romaine, toutes formes d’attaques sur les jambes. La lutte libre se caractérise donc par une garde basse, à mi-distance voire à distance.

La lutte féminine, longtemps considérée comme une discipline masculine par excellence, la lutte n’est plus l’apanage des hommes. Elle est représentée pour la première fois aux JO d’Athènes en 2004. La lutte féminine est une forme de lutte libre adaptée aux spécificités physiologiques et morphologiques des femmes. Ainsi, le règlement interdit l’exécution de certaines combinaisons technico-tactiques qui pourraient être préjudiciables à l’intégrité physique de ces dernières.

La lutte de plage ou Beach Wrestling a été créée en 2006 par la fédération internationale (UWW). L’UWW structure cette discipline au niveau international. Sport émergent, la fédération française de lutte et disciplines associées (FFLDA) a pris en compte cette nouvelle activité en 2013. L’activité beach a pris de l’ampleur au sein de la FFLDA dans le cadre de la tournée estivale des plages du littoral français et des différents championnats de France, d’Europe et du Monde.